Auteur(s) |
Andrew D. Palmer Minnie S. Graham |
Volume | 28 |
Numéro | 1 |
Année | 2004 |
Page(s) | 6-24 |
Langue | Anglais |
Catégorie | |
Mots-clés |
alaryngeal speech rehabilitation communication head and neck cancer laryngectomy quality of life |
Abrégé |
A national mail survey was conducted to evaluate the relationship of communication and quality of life (QOL) in alaryngeal speakers. Subjective impressions of QOL were ascertained with regard to physical, social, emotional, functional well-being, and disease-specific concerns. Demographic variables which correlated with increased QOL included income and years postsurgery. The number of postoperative symptoms had a strong negative correlation with QOL. There were no differences by gender or partnership status but employment was associated with higher QOL. Results also showed that frequent communicators and those who perceived their communication as successful rated their QOL as significantly higher than those who communicated less often and those who rated themselves as less successful. The abilities to breathe, eat, and communicate showed the strongest significant relationships with overall QOL. Of these three abilities, the ability to communicate was most strongly associated with better QOL. The ability to communicate showed an inverse relationship with feelings of social isolation. A positive relationship was found between the ability to communicate and feelings of pride, acceptance, and enjoyment of life. There was also a positive relationship between communication and functional abilities, such as the ability to perform work- or household-related tasks and the ability to eat. Results are discussed relative to other studies that have examined QOL in head and neck cancer survivors. Implications for future research are discussed. Un sondage évaluant la relation entre la communication et la qualité de vie (QDV) auprès de locuteurs alaryngés, a été effectué à l'échelle nationale, par envoi postal. Des impressions subjectives concernant la qualité de vie ont été établies en fonction des aspects physiques, sociaux, émotionnels, fonctionnels, ainsi qu'en fonction de l'état de bien-être et de la maladie. Les variables démographiques en corrélation avec une augmentation de la QDV étaient : le revenu et les années post-chirurgie. Le nombre de symptômes était en forte corrélation négative avec la QDV. Il n'y avait pas de différence entre les genres et l'état civil, mais le fait d'occuper un emploi était associé à une QDV plus élevée. Les résultats obtenus ont aussi montré que les personnes qui communiquent souvent sont celles qui perçoivent bien réussir leur communication et rapportent une QDV significativement plus élevée que celles qui communiquent moins souvent et qui croient moins bien réussir leur communication. Les trois fonctions suivantes : respirer, manger et communiquer ont montré la plus forte relation significative avec la QDV générale. De ces trois dernières, l'habileté à communiquer était celle associée plus significativement avec une meilleure QDV. L'habileté à communiquer était en correspondance réciproque avec l'impression d'isolement social. Une relation positive a été observée avec l'habileté à communiquer et la sensation de fierté, d'acceptation de soi et l'impression de profiter de la vie. Il y a aussi une relation positive entre la communication et les habiletés fonctionnelles telles que réussir des tâches reliées au travail ou à l'entretien ménager et de pouvoir manger. Une discussion des résultats en relation avec d'autres études portant sur la qualité de vie chez les personnes ayant survécu au cancer à la tête ou au cou apparaît à la fin de l'article ainsi que les implications pour les futures recherches. |
ID | 843 |
Lien | https://cjslpa.ca/files/2004_JSLPA_Vol_28/No_01_1-71/Palmer_Graham_JSLPA_2004.pdf |
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