Auteur(s) |
Elizabeth Sharakis-Doyle Linda T. Miller Meghan Reicheld |
Volume | 24 |
Numéro | 4 |
Année | 2000 |
Page(s) | 180-191 |
Langue | Anglais |
Catégorie | |
Mots-clés |
preschool language assessment construct validity |
Abrégé |
Evidence-based practice requires demonstration of the adequacy and appropriateness of assessment procedures, as well as treatment procedures. The purpose of this paper was to demonstrate the process of obtaining such evidence by using the example of the Preschool Language Assessment Instrument (PLAI). This test is used primarily for the purposes of profiling children’s abilities to cope with the language of instruction and then to develop treatment programming based upon the profile. It is based upon a model of instructional language comprised of four distinct levels of abstraction. We approached the task of obtaining evidence for this model, and hence the test, from several perspectives. In the first analysis, the appropriateness of the four levels was assumed. Average performance scores for three age groups of children at each test level were compared. In the second set of analyses, the appropriateness of the model was not assumed and was examined based upon the grouping of items delineated by the model (i.e., the four-level assignment) via factor analysis. Evidence from all analyses led to the conclusion that a single central dimension was being evaluated in the PLAI. The four-level hierarchy of perceptual-language distance was not confirmed in the results. Instead an alternative five-factor solution was suggested. Current practices based upon this model were reexamined based upon the evidence obtained. La practique fondée sur l'expérience n'est possible que lorsque sont démontrés la pertinence et le bien-fondé des procédures d'évaluation, ainsi que des procédures de traitement. L'objectif de cette étude était justement de documenter le processus permettant d'obtenir une telle preuve à l'aide de l'exemple de l'instrument d'évaluation linguistique préscolaire. Ce test sert principalement à déterminer les aptitudes des enfants à comprendre la langue d'enseignement, puis à élborer un programme de traitement en fonction du profil établi. Il se fonde sur en modèle de langue d'enseignement qui comprend quatre différents niveaux d'abstraction. Nous avons envisagé la tâche d'obtenir les preuves pour ce modèle, et donc pour le test, de différentes perspectives. Dans la première analyse, nous avons pris pour acquis la pertinence des quatre niveaus. Les résultats de performance moyens ont été comparés pout les trois groupes d'âge dans chaque niveau. Dans la deuxième analyse, nous n'avons pas pris pour acquis la pertinence du modèle, mais l'avons examiné en fonction du groupement d'éléments délimités par le modèle (exercice aux quatre niveaux) grâce à une analyse factorielle. Les résultats de toutes les analyses ont mené à la conclusion que l'instrument d'évaluation linguistique préscolaire ne permet de jauger qu'une seule dimension centrale. La hiérarchie à quatre niveaux de la distance linguistique perceptive n'a pas été confirmée dans les résultats. Par contre, une autre solution fondée sur cinq facteurs a été proposée. Les pratiques actuelles axées sur ce modèle ont été réévalués en tenant compte des preuves ainsi obtenues. |
ID | 44 |
Lien | https://cjslpa.ca/files/2000_JSLPA_Vol_24/No_04_145-196/Skarakis-Doyle_Miller_Reichheld_JSLPA_2000.pdf |
La RCOA est une revue en accès libre, ce qui signifie que tous les articles sont disponibles sur Internet dès leur publication, et ce, pour tous les utilisateurs. Les utilisateurs sont autorisés à lire, télécharger, copier, distribuer, imprimer, rechercher ou fournir le lien vers le contenu intégral des articles, ou encore, à utiliser les articles à toutes autres fins légales.
La RCOA ne charge aucun frais pour le traitement ou la publication des manuscrits.
C’est l’Orthophonie et Audiologie Canada (OAC) qui détient les droits d’auteur de la Revue canadienne d’orthophonie et d’audiologie. Il faut mentionner la source (OAC, nom de la publication, titre de l’article, numéro du volume, numéro de la parution et numéro des pages), mais sans laisser entendre que OAC vous approuve ou approuve l’utilisation que vous faites du texte. Il est interdit d’utiliser les documents à des fins commerciales. Il est interdit de modifier, transformer ou développer le texte.