Auteur(s) |
M. Alanna Kerr Sabina Guildford Elizabeth Kay-Raining Bird |
Volume | 27 |
Numéro | 1 |
Année | 2003 |
Page(s) | 10-28 |
Langue | Anglais |
Catégorie | |
Mots-clés |
assessment language child standardized tests psychometrics measurement practices norm-referenced |
Abrégé |
Members of the Canadian Association of Speech-Language Pathologists and Audiologists (CASLPA) with interests in child language were surveyed to examine their current use of norm-referenced tests, current measurement practices, and psychometric knowledge. Primary focus of the study centred on the frequency with which practices characterized as 'misuse’ by McCauley and Swisher (1984b) occur. Specifically, these include the use of individual subtest items to establish treatment goals, use of profiles to characterize patterns of deficits, use of repeated standardized test administration to measure treatment progress, and use of age-equivalent scores to summarize test results. Results indicate that clinician awareness of these 'misuses’ is variable. Clinicians are aware of the problems associated with the use of individual subtest items to establish treatment goals and with the use of age-equivalent scores, yet continue to engage in these practices nonetheless. A large proportion of clinicians find profiles useful, but few are aware of the cautions which should accompany their use. Most speech-language pathologists use a combination of criterion-referenced procedures and standardized tests to measure treatment progress. As such, the use of the less sensitive standardized tests may be interfering with accurate measurement of the effectiveness of the intervention provided. Consistent with the foregoing results, the survey revealed that few clinicians are fully confident with their psychometric knowledge. On a sondé des membres de l’Association canadienne des orthophonistes et audiologistes (ACOA) s’intéressant au développement langagier chez l’enfant afin de connaître leur usage actuel de tests normatifs, leurs pratiques de mesure actuelles et leur connaissance en psychométrie. L’étude s’est concentrée principalement sur la fréquence des occurrences de pratiques caractérisées de « mésusages » par McCauley et Swisher (1984b). Plus précisément, ceux-ci comprennent l’utilisation d’éléments individuels de subtests afin de fixer des objectifs de traitement, l’utilisation de profils pour caractériser des modèles de déficiences, l’utilisation d’une administration répétée de tests normalisés pour mesurer le progrès du traitement, et l’utilisation de scores d’équivalence d’âge pour résumer les résultats des tests. Les résultats montrent que la reconnaissance par les cliniciens de ces « mésusages » est variable. Les cliniciens sont conscients des problèmes liés à l’utilisation d’éléments individuels de subtests afin de fixer des objectifs de traitement et à l’utilisation de scores d’équivalence d’âge, mais continuent tout de même d’employer ces pratiques. Une grande proportion de cliniciens considèrent que les profils sont utiles, mais peu sont conscients des précautions qui doivent les accompagner. La plupart des orthophonistes utilisent une combinaison de procédures critérielles et de tests normalisés pour mesurer le progrès du traitement. À ce titre, l’utilisation de tests normalisés moins sensibles peut nuire à l’exactitude de la mesure de l’efficacité de l’intervention. En cohérence avec les résultats susmentionnés, le sondage a révélé que peu de cliniciens ont pleine confiance en leur connaissance psychométrique. |
ID | 22 |
Lien | https://cjslpa.ca/files/2003_JSLPA_Vol_27/No_01_1-92/Kerr_Guildford_Kay-Raining_Bird_JSLPA_2003.pdf |
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